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Le P’tit Tour mène la Mayenne à vélo vers les Jeux
ACTUALITÉ : tous les articles D’ici le 2 juillet, la Mayenne aura été traversée en tous sens par le P’tit Tour Usep, avec 29 étapes mobilisant 85 écoles et 2 600 enfants de CM1-CM2. Fortement soutenue par l’Éducation nationale, cette édition rebaptisée localement «À vélo vers les Jeux» installera davantage encore la petite reine parmi les apprentissages scolaires dans le département. En Mayenne, le P’tit Tour se concentre d’habitude sur une étape lavalloise au peloton très fourni, complétée par deux autres réunissant des écoles du nord et du sud du territoire. Cela donne lieu à 750 à 800 attestations du Savoir Rouler à Vélo. Mais sur ces terres rurales où la flamme olympique débarquera fin mai, le P’tit Tour prend cette année une ampleur inhabituelle, avec un parcours continu de 29 étapes sillonnant tout le département. « Les deux critères de choix des villes et villages étapes ont été l’affiliation des écoles à l’Usep et la labellisation Terres de Jeux des communes, ce qui est le cas de 80 % d’entre elles. Tous les bassins de collèges seront aussi concernés », explique le délégué départemental, Fabien Huard. Les services de l’Éducation nationale ont apporté leur soutien, dans le prolongement des formations au Savoir Rouler animées en commun pour les enseignants de cycle 3. Sur les deux dernières années scolaires, ces journées ont concerné 8 professeurs des écoles sur 10 : un vrai coup de pouce pour la dynamique vélo ! Tous rassemblés à la mi-journée Le peloton va de 50 élèves dans les zones les plus rurales jusqu’à 400 pour l’étape lavalloise du 2 juillet. Pour les encadrer les enfants, de nombreux parents ont passé l’agrément vélo, et les bénévoles de l’Audax Club Lavallois apporteront ponctuellement leurs concours. Quant à la distance parcourue, elle va jusqu’à 50 km aller-retour selon le lieu de rassemblement de la mi-journée1, vers lequel pourront aussi converger des classes d’écoles voisines des communes-étapes. Les enfants repartiront ensuite vers leur école après la remise officielle de leur attestation du Savoir Rouler à Vélo, déjà validée par les deux sorties sur route préalables à l’étape du jour. Enfin, sur la plupart des étapes, des classes de P’tits Reporters formés avec l’appui du conseiller pédagogique pour l’éducation aux médias et à l’information alimentent le blog du projet. Dynamique durable « Au-delà de cette édition exceptionnelle où, en raison du partenariat renforcé avec l’Éducation nationale, 15 % des classes écoles ne sont pas affiliées, la dynamique vélo impulsée par l’Usep sort déjà renforcée, avec l’envie déjà affichée par les enseignants et les parents de renouveler l’expérience l’an prochain », se félicite Fabien Huard. Rendez-vous donc en 2025 pour en juger ! (1) Outre une cérémonie protocolaire avec interventions officielles et passation de fanions entre classes, les enfants participent à des ateliers sur l’olympisme, la prévention routière et la santé (avec les infirmières du département et de l’Ireps). Un stand accueille aussi une exposition « sport et mémoire » conçue par le Mémorial des déportés et retraçant le destin de plusieurs athlètes. Les autres principaux partenaires sont les mairies et communautés de communes, le conseil départemental, le comité départemental olympique, celui de cyclisme et la MGEN. Un P’tit Tour en forme olympique Le livret P’tit Tour À vélo vers les Jeux : présentation Le blog du projet ← précédent L’article Le P’tit Tour mène la Mayenne à vélo vers les Jeux est apparu en premier sur USEP.

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10/05

Le relais de la phryge, l’autre parcours de la flamme
ACTUALITÉ : tous les articles Parallèlement au parcours ultramédiatisé de la flamme olympique et aux initiatives départementales des comités Usep, il existe aussi des projets locaux. Ainsi les enfants du secteur Usep de Saint-Symphorien-de-Lay (Loire) randonnent-ils d’une école à l’autre avec la mascotte des Jeux de Paris 2024. Au sud de Roanne, la communauté de communes du Pays entre Loire et Rhône, ou COPLER, est labellisée Terre de Jeux. Coïncidence ou non, ce territoire recoupe celui d’un secteur Usep très dynamique dont la référente est Julie Matray, directrice de l’école de Saint-Victor-sur-Rhins et élue départementale. C’est donc vers elle que les élus locaux se sont tournés pour concevoir un projet en lien avec Paris 2024. Très vite a émergé l’idée d’une flamme allant d’un village à l’autre avec par des écoliers – dont des maternelles – partageant à cette occasion une rencontre sportive avec leurs hôtes. Des écoles non (encore) affiliées à l’Usep ont été associées au projet à la demande de la collectivité locale, et seules deux communes sont restées à l’écart du projet. Dix écoles visitées « Partie le 2 mai de Saint-Symphorien, la flamme achèvera son périple début juin à Lay. Entre temps, la phryge qui l’accompagne aura garni son sac-à-dos des messages aux athlètes confiés à chaque étape par les enfants, dans l’esprit de l’évènement Les enfants font leurs jeux », explique Julie Matray. Le principe est celui d’une randonnée pédestre matinale suivie d’une rencontre de deux heures organisée par l’école hôte autour d’un atelier handisport (cécifoot, boccia, parcours aveugle…) et d’un atelier sportif de son choix, plus d’autres intangibles : flash mob, débat sur les Jeux olympiques et paralympiques, écriture des messages aux athlètes, breaking et parcours d’orientation conçu par l’éducateur de la communauté de communes. « Au fil de celui-ci, les enfants doivent répondre à des questions dont la réponse leur a été donnée lors de l’intervention préalable d’un collègue venu présenter en classe les JOP et leur histoire, précise Julie Matray. Quant aux déplacements, ils s’effectuent à pied, avec une partie du parcours ou bien le retour en car – financé par la communauté de communes – selon la distance. Sauf pour les enfants de Saint-Symphorien, qui pour l’étape inaugurale sont venus chez nous à vélo, aller et retour, et à qui nous avions réservé une haie d’honneur à la hauteur de leur effort. » Une rencontre au collège pour terminer De son côté, le comité Usep fournit le matériel handisport et les fiches ateliers utilisées par les enseignants. C’est aussi par son canal que remonteront les messages aux athlètes. Et ces dix rencontres iront-elles au pot commun des 2024 rencontres – voire deux fois plus – organisées d’ici fin juin dans le cadre de l’évènement « Les enfants font leurs Jeux » ? « Non, parce que tous les sports pratiqués ne sont pas olympiques et que les rencontres sont d’une durée un peu trop courte, explique la déléguée départementale, Aurore Jaubert. En revanche, pour clore en beauté le projet nous travaillons sur une grande rencontre CM2-6e le 20 juin au collège de Régny qui, elle, sera comptabilisée ! » Les comités Usep portent le flambeau Plusieurs comités se sont appuyés sur la symbolique du parcours de la flamme pour impulser et entretenir la dynamique 2024 auprès de leurs associations. Dans l’Aube, où elle a été allumée dès l’automne 2020, la flamme est le prétexte à mettre en place des activités coanimées avec les comités sportifs départementaux pendant trois semaines dans les 38 d’écoles visitées. Autre exemple, celui de la Vendée : des Herbiers aux Sables-d’Olonne, du 12 mars au 31 mai, La Flamme des écoles en aura visité presque autant, là aussi avec des cérémonies et des ateliers animés avec le concours des clubs locaux, le tout relaté dans une gazette quotidienne. Dans l’Aube, la flamme olympique va d’école en école Les enfants font leurs Jeux Un P’tit Tour 2024 en forme olympique ← précédent L’article Le relais de la phryge, l’autre parcours de la flamme est apparu en premier sur USEP.

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10/05

Un P’tit Tour 2024 en forme olympique
ACTUALITÉ : tous les articles Les premiers coups de pédale du P’tit Tour ont été donnés lundi 6 mai en Vendée, où plusieurs étapes sont associées à l’évènement «La Flamme des écoles ». Quant au projet «À vélo vers les Jeux» porté par l’Usep Mayenne, il met résolument cette édition 2024 à l’heure olympique. De l’école Jean-Yole de La Roche-sur-Yon au village de La Genétouze, le parcours choisi par les enseignants et l’Usep Vendée compte douze kilomètres, sur un parcours alternant rues, pistes cyclables et routes secondaires. Ainsi auront-ils mérité leur attestation du Savoir Rouler. Avec le retour par le même chemin, on obtient ainsi une bonne petite étape du P’tit Tour à Vélo pour 47 enfants de cours moyen. Savaient-ils d’ailleurs que ce sont eux qui ont officiellement donné ce lundi 6 mai les tout premiers coups de pédale de l’édition 2024 ? Une flamme sur le porte-bagage L’originalité de cette étape – et des quatre autres programmées en Vendée cette année – est aussi d’être associée à l’opération La Flamme des écoles lancée à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques. Ceci avec l’appui de la chargée de mission sport scolaire et Génération 2024 (Juliette Marlin) et d’un jeune en service civique (Noé Pelletier), qui concoctent avec le délégué Usep Benjamin Roy une gazette quotidienne racontant en images l’étape du jour. Celle-ci contribue à la visibilité d’une opération lancée en grande pompe aux Herbiers, soutenue par les communes et intercommunalités et relayée par la presse locale, en attendant les télés pour l’arrivée aux Sables-d’Olonne. Le principe est simple : depuis mi-mars et jusqu’à fin mai, des enfants d’une association Usep accompagnent la flamme en question jusqu’à l’école du village ou de la ville voisine. Sur la route de La Génétouze, elle était ainsi accrochée avec la pompe à vélo au siège enfant fixé au porte-bagage d’un animateur, quand d’autres fois elle a droit au confort d’une cariole. La plupart des 37 étapes s’effectuent cependant en randonnant à pied, avec le retour ou une partie du trajet en car si la distance est trop importante. Quelques jours avant la date officielle du début du P’tit Tour, les enfants de Saligny ont aussi expérimenté l’intermodalité vélo + train pour rejoindre La Roche-sur-Yon. Lundi 6 mai, les petits cyclistes yonnais ont remis la flamme à leurs camarades lors d’une petite cérémonie empreinte de solennité, et aussi d’humidité. Puis ils ont partagé avec eux une activité sportive placée sous le signe de l’olympisme : du tennis de table plus précisément. Avant de s’en retourner chez eux, délestés de leur flambeau mais la flamme au cœur. À vélo vers les Jeux Le maillot jaune de la synergie entre le P’tit Tour et la dynamique 2024 Les enfants font leurs jeux revient toutefois à l’Usep Mayenne et à son opération partenariale À vélo vers les Jeux. À partir de lundi 13 mai, celle-ci impliquera 86 écoles publiques et se déclinera en 29 étapes traversant le département du nord au sud, avant un final grandiose au vélodrome de Laval mardi 2 juillet. Une arrivée légèrement hors délais qui, au regard des efforts fournis, devrait bénéficier de la mansuétude des organisateurs nationaux d’un P’tit Tour en forme olympique. Le P’tit Tour Usep à vélo Le livret P’tit Tour Savoir Rouler à Vélo : en Deux-Sèvres, les stages massés font l’unanimité Reportage 2022 : étape nationale en Eure-et-Loir ← précédent suivant → L’article Un P’tit Tour 2024 en forme olympique est apparu en premier sur USEP.

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02/05

Je me souviens des cross en Haute-Savoie et de mon service civique en Ariège
ACTUALITÉ : tous les articles Après avoir pratiqué le sport scolaire à l’école élémentaire Léon-Bailly de Rumilly (Haute-Savoie), Kaïna Delebecque, 20 ans, achève mi-mai un service civique à l’Usep Ariège auprès de la déléguée départementale. Une expérience où elle a découvert l’envers d’une rencontre et gagné en assurance. « Mon le souvenir le plus fort de l’Usep, ce sont trois jours de classe de neige. Sinon, nous avions des rencontres 5 à 6 fois dans l’année, en temps scolaire. Je me souviens d’une rencontre course longue à Annecy où il fallait couvrir le plus de tours possibles en 30 minutes, selon ses capacités : moi qui suis davantage dans la durée que dans la rapidité, ça me convenait. Le car nous débarquait en fin de matinée, il y avait une petite présentation pour toutes les classes puis le pique-nique, les courses et les remises de diplôme, et une sono avec un animateur au micro. Je me souviens du handball, du futsal, du foot, et de la fois où, gardienne de but, j’ai reçu le ballon en pleine figure. Je me souviens aussi du rugby, avec des jeux le matin et des matchs l’après-midi : j’aimais beaucoup les plaquages, peut-être parce qu’enfant j’ai pratiqué le vo vietnam, un art martial. J’ai quand même trouvé celui d’une copine bien trop rude. Moi, je n’y allais pas aussi fort ! Je me souviens de l’appréhension qui était la mienne au tennis de table, car je n’avais jamais tenu une raquette de ma vie. Finalement je me suis débrouillée et j’ai passé un bon moment, même si je n’ai pas eu l’occasion de rejouer au ping-pong depuis. Après l’école primaire, j’ai arrêté complètement le sport en raison de problèmes de santé et d’une opération du cœur. Et c’est ici, en Ariège, où ma famille a déménagé, que j’ai retrouvé l’Usep pour un service civique, en attendant la formation d’auxiliaire de puériculture que je débuterai en septembre, après le bac pro service à la personne que j’ai décroché l’an passé. Mes missions portent sur le développement des réseaux sociaux et l’encouragement de la pratique, ce qui passe par l’organisation des rencontres. Ce que je retiens d’ailleurs de cette expérience à l’Usep Ariège, c’est que lorsqu’on est enfant tout semble aller de soi : on arrive à telle heure et puis tout roule. Mais lorsqu’on est de l’autre côté de la barrière, on se rend compte du temps que ça prend de tout organiser, avec parfois des galères de matériel et les aléas de la météo ! Je participe aussi à l’animation des rencontres. Pour « La maternelle entre en jeu ! », c’étaient par exemple des ateliers sur la laïcité et l’égalité filles-garçons avec des enfants de moyenne et grande section. Pour le handisport, c’était de la sensibilisation au handicap visuel : les enfants devaient reconnaître des légumes en plastique au toucher, ou guider par la voix un camarade, sur un parcours à effectuer les yeux bandés. Et cet hiver, avant une rencontre sports de neige où les enfants jouaient les Petits Reporters, je suis allée leur expliquer comment faire en classe. Durant ce service civique, j’ai acquis de l’assurance. Au début, j’étais très mal à l’aise à l’idée de devoir m’occuper de grands de CE2 ou de cours moyen. Je me disais : ils vont avoir l’impression que je leur raconte n’importe quoi ! Mais à présent ça va tout seul ! » Je me souviens des lendits pyrénéens Je me souviens du basket dans les Yvelines Je me souviens du rugby à Paris Je me souviens de l’athlétisme en Loir-et-Cher Je me souviens des rencontres de masse dans les Landes Je me souviens du P’tit Tour à vélo dans l’Yonne ← précédent L’article Je me souviens des cross en Haute-Savoie et de mon service civique en Ariège est apparu en premier sur USEP.

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23/04

AG financière 2024 : l’Usep fin prête pour construire l’héritage après les Jeux
ACTUALITÉ : tous les articles L’élection du nouveau comité directeur national ayant été repoussée à l’automne pour permettre à l’équipe actuelle d’accompagner le projet Les enfants font leur Jeux (en lien direct avec les JOP 2024) jusqu’à son terme, c’est une assemblée générale financière qui s’est déroulée dimanche 21 avril à Paris. Rapport financier, budgets et tarifs ont été unanimement validés. Au vu des résultats des votes1, avec un rapport financier 2023 validé à 100 %, un budget 2024 avalisé à 95,63 % et les tarifs statuaires à 92,17 %, l’Usep est fin prête pour construire l’héritage après les Jeux. Développement. Rendez-vous cet automne en Touraine pour une assemblée générale élective qui permettra de renouveler l’équipe des élus nationaux et la présidence. Outre l’enjeu démocratique, il s’agira d’envisager la suite de l’opération Les enfants font leurs Jeux, dont l’ambition immédiate est de doubler le défi initial d’organiser 2024 rencontres d’ici début juillet. En somme, dans cet après Paris 2024, il sera question d’héritage et de développement de l’Usep, qui pèse déjà lourd dans le paysage sportif, forte de sa place de 4ème plus grosse Fédération sportive en nombre de licenciés. « 2024, et après ? » au rassemblement des présidents et délégués La veille de l’AG, un rassemblement des président.es et délégué.es des comités fut l’occasion de faire le point sur la dynamique 2024 et de se projeter sur un après-Jeux où « l’Usep devra défendre l’EPS à l’école afin d’éviter la substitution du « bouger » à un réel apprentissage moteur », a prévenu d’emblée la présidente Véronique Moreira. Il s’agissait aussi d’impliquer les militants présents dans un premier bilan de la mandature finissante et d’esquisser des pistes pour celle qui débutera au lendemain du dimanche 20 octobre. Lors du premier temps en plénière, un sondage en direct, smartphone en main, a permis aux 160 représentants présents de donner leur appréciation sur les opérations nationales, la dynamique 2024 et les outils et ressources mis à leur disposition. Les résultats plus qu’encourageants confortent les projets actuels et incitent à leur poursuite. Parmi les ateliers en groupe, celui du début d’après-midi consistait à identifier les leviers de développement induits par la dynamique 2024 et à s’interroger sur la place de l’activité physique dans les activités Usep, à côté des compétences psycho-sociales et de la culture sportive. Il s’agissait également de répondre à une question cruciale : comment faire face à l’augmentation du nombre de licenciés et entretenir la dynamique impulsée par les Jeux ? Les uns se sont ensuite initiés au « Jeu de main, jeu de citoyen » imaginé par des animateurs Usep, tandis que les autres participaient à un atelier breakdance. Les derniers ateliers au choix portaient enfin sur l’emploi, la communication, le hors temps scolaire et le Savoir Rouler à Vélo. Ceci avant une clôture où il fut question de l’incidence de la convention signée en janvier dernier avec le ministère de l’Éducation nationale, notamment sur les moyens humains accordés aux comités départementaux pour déployer leur action. (1) Le compte de résultat 2023 s’est établi à 5 578 659 € (total des produits) pour un bilan de 1 317 595 € et un excédent de 11 818 € ; de son côté le budget 2024 s’établit à 5 699 608 € en charges se trouvant ainsi déséquilibré, avec un déficit prévu de 170 000 € au regard des actions exceptionnelles en lien avec les Jeux olympiques et paralympiques. Ce déficit pourra toutefois être absorbé en puisant dans la réserve « Dynamique 2024 » constituée en 2022, a expliqué la trésorière nationale Charlotte Carré. l’AG 2023 à Aix-les-Bains ← précédent L’article AG financière 2024 : l’Usep fin prête pour construire l’héritage après les Jeux est apparu en premier sur USEP.

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